Initiative de la Vallyere : quel impact ?

L’initiative “Sauvons la Valleyre” prétend protéger notre commune de l’urbanisation, mais quel est réellement l’impact de ce quartier sur notre densité et notre environnement ?

Voici ce que vous devez savoir :

🏠 Moins de 1% – La Valleyre représente moins de 1% des terrains agricoles et forestiers du Mont. Ce quartier a donc un impact extrêmement limité sur notre territoire global, qui reste largement préservé.

👥 6% des nouveaux habitants – Les logements prévus à la Valleyre accueilleront environ 6% des nouveaux habitants attendus d’ici 2035. Ces logements répondront en priorité à une demande locale, étant d’abord proposés aux Montains, ce qui permet de répondre à un besoin réel sans surcharger nos infrastructures ou notre densité urbaine.

🌳 Un projet conçu pour la durabilité – Contrairement à ce que prétendent les initiants, le projet de la Valleyre intègre des principes d’urbanisme durable. Avec un faible taux d’utilisation du sol et des constructions bioclimatiques, ce projet respecte l’environnement tout en fournissant des logements essentiels.

🚨 Des risques disproportionnés – Pour un projet qui a un si faible impact sur la densité, l’initiative présente des risques financiers et juridiques disproportionnés pour la commune. En plus des coûts financiers, la remise en question de ce projet pourrait entraîner une densification plus importante décidée par le canton, compromettant ainsi l’équilibre que nous cherchons à préserver.

🔄 Une perte d’opportunité pour des investissements cruciaux – Le refus du projet entraînerait la perte de 1,3 million CHF en taxes sur les équipements communautaires, un montant essentiel pour développer les infrastructures dont notre commune a besoin pour accompagner sa croissance de manière harmonieuse.

N’avons-nous pas plus à perdre qu’à gagner en acceptant l’initiative? Pour un impact aussi faible, les risques financiers et juridiques sont tout simplement trop élevés. Préservons l’équilibre de notre commune tout en répondant aux besoins réels de nos habitants.